Présentation rapide du Réseau No Pasaran
Réseau antifasciste, anticapitaliste, antisexiste
et contre toute forme d’oppression.
et contre toute forme d’oppression.
L'antifascisme :
C’est historiquement l’une des composantes majeures du Réseau No Pasaran. Les courants politiques nationalistes, par leur idéologie et leurs pratiques, entretiennent les replis identitaires. Ils servent à la fois de prétextes et modèles aux différents gouvernements qui se succèdent, que ce soit en matière d’immigration, de politique sécuritaire ou de répression sociale. Dans cette perspective, le Réseau concentre son activité antifasciste autour de trois axes principaux.
D’abord il assure en collaboration avec la revue Reflexes, un travail d’information et d’analyse sur les différents courants nationalistes, qui se traduit par des articles réguliers dans No Pasaran.
Ensuite, en s’appuyant sur ce travail d’information, il tente d’organiser, sur le terrain, des ripostes face à la présence de l’extrême droite dans la rue, que ce soit lors des élections ou à l’occasion d’une apparition publique des groupe nationalistes.
Enfin, à travers la participation au collectif Solidarité Résistance Antifasciste et la création du réseau ANTIFANET qui regroupe une quinzaine de groupes antifascistes internationaux (Allemagne, États-Unis, Norvège, Pologne...), No Pasaran s’attache à donner une forme concrète à l’idée de solidarité antifasciste internationale.
L’antisexisme :
Au jour le jour, le patriarcat organise l’exploitation économique des femmes : inégalité des salaires, dans la répartition du travail domestique, etc. Les violences induites par le patriarcat revêtent plusieurs formes ; les 48 000 viols commis en France en 1999 révèlent de la violence physique que subissent les femmes. La violence symbolique, constamment présente dans l’éducation, le langage, les représentations dans les médias, la publicité... enferment les femmes dans un modèle imposé. Ce conditionnement culturel touche aussi bien les hommes que les femmes; les premiers doivent être forts, virils, indépendants et protecteurs, les secondes doivent être belles, douces, altruistes et soumises. La déconstruction des clichés de la féminité et de la virilité est indispensable.
Le Réseau No Pasaran agit aussi sur le terrain pour la défense du droit à l'avortement (contre les" fous de dieu"), la défense de la contraception libre et gratuite, contre le harcèlement sexuel, la prostitution et les violences faites aux femmes.
L’anticapitalisme :
Nous ne croyons pas à l’aménagement d’un capitalisme à visage humain géré par un collège de « citoyens » éclairés, mais nous visons une émancipation totale. L’accès à la garantie des ressources sociales (santé, éducation, logement,...) réorganiser la société autour des emplois socialement utiles, satisfaire nos besoins, voilà les bases d’une société émancipée. Exiger la gratuité, c’est exprimer l’idée que nous souhaitons que nos conditions d’existence ne soient pas liées aux logiques marchandes et aux impératifs de rentabilité. La gratuité, c’est casser les rapports de domination, c’est remettre en cause la marche globale de l’économie.
Combattre le capitalisme nécessite aussi de mettre en place des alternatives, de révolutionner les rapports sociaux, de détruire les valeurs dominantes (individualisme, consumérisme, productivisme, ...) pour construire une société fondée sur la liberté, la démocratie directe, la solidarité, l'autogestion, l'égalité, ...
C’est historiquement l’une des composantes majeures du Réseau No Pasaran. Les courants politiques nationalistes, par leur idéologie et leurs pratiques, entretiennent les replis identitaires. Ils servent à la fois de prétextes et modèles aux différents gouvernements qui se succèdent, que ce soit en matière d’immigration, de politique sécuritaire ou de répression sociale. Dans cette perspective, le Réseau concentre son activité antifasciste autour de trois axes principaux.
D’abord il assure en collaboration avec la revue Reflexes, un travail d’information et d’analyse sur les différents courants nationalistes, qui se traduit par des articles réguliers dans No Pasaran.
Ensuite, en s’appuyant sur ce travail d’information, il tente d’organiser, sur le terrain, des ripostes face à la présence de l’extrême droite dans la rue, que ce soit lors des élections ou à l’occasion d’une apparition publique des groupe nationalistes.
Enfin, à travers la participation au collectif Solidarité Résistance Antifasciste et la création du réseau ANTIFANET qui regroupe une quinzaine de groupes antifascistes internationaux (Allemagne, États-Unis, Norvège, Pologne...), No Pasaran s’attache à donner une forme concrète à l’idée de solidarité antifasciste internationale.
L’antisexisme :
Au jour le jour, le patriarcat organise l’exploitation économique des femmes : inégalité des salaires, dans la répartition du travail domestique, etc. Les violences induites par le patriarcat revêtent plusieurs formes ; les 48 000 viols commis en France en 1999 révèlent de la violence physique que subissent les femmes. La violence symbolique, constamment présente dans l’éducation, le langage, les représentations dans les médias, la publicité... enferment les femmes dans un modèle imposé. Ce conditionnement culturel touche aussi bien les hommes que les femmes; les premiers doivent être forts, virils, indépendants et protecteurs, les secondes doivent être belles, douces, altruistes et soumises. La déconstruction des clichés de la féminité et de la virilité est indispensable.
Le Réseau No Pasaran agit aussi sur le terrain pour la défense du droit à l'avortement (contre les" fous de dieu"), la défense de la contraception libre et gratuite, contre le harcèlement sexuel, la prostitution et les violences faites aux femmes.
L’anticapitalisme :
Nous ne croyons pas à l’aménagement d’un capitalisme à visage humain géré par un collège de « citoyens » éclairés, mais nous visons une émancipation totale. L’accès à la garantie des ressources sociales (santé, éducation, logement,...) réorganiser la société autour des emplois socialement utiles, satisfaire nos besoins, voilà les bases d’une société émancipée. Exiger la gratuité, c’est exprimer l’idée que nous souhaitons que nos conditions d’existence ne soient pas liées aux logiques marchandes et aux impératifs de rentabilité. La gratuité, c’est casser les rapports de domination, c’est remettre en cause la marche globale de l’économie.
Combattre le capitalisme nécessite aussi de mettre en place des alternatives, de révolutionner les rapports sociaux, de détruire les valeurs dominantes (individualisme, consumérisme, productivisme, ...) pour construire une société fondée sur la liberté, la démocratie directe, la solidarité, l'autogestion, l'égalité, ...
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